Petit texte

Comme toujours, il a été prouvé et certifier, que je ne sais pas mettre de petit mot gentille et original dans les agenda, cahier ou autre d'une amie. alors au lieux de lui dire combien je l'adorer et que c'était une super amie, je lui est écrit ça, d'une seul traite sans réfléchir.

Seul.
Au milieu des bois il continue de marcher.
Insensible au froid, insensible au vent qui fouette son visage, il continue d’avancé… angoissé dans la nuits sans lune.
La forêt qui l’entour est sombre, et le bruit du vent dans les branches, les cries des animaux nocturne, lui font accéléré le pas, le cœur s’accélère et la raison ce brouille imaginant déjà le pire.
Une branche craque.
Il s’arrête, se retournant brusquement. Attend un autre signe pouvant indiquée la présence de quelqu’un ? De quelque chose ?
Il attend.
Rien.
Toujours rien.
Il se retourne et repart, le pas toujours rapide, angoissé et apeuré.
Il distingue un mouvement sur sa droite. Il se met à courir, sa raison totalement envolée, mais la peur, elle bien présente.
Les mouvements sur sa droite continue, s’amplifie et semble le suivre, le prendre en chasse.
Il accélère encore, tente d’échapper à son « future » agresseur, les larmes coulent le long de ces joue, sa respiration devient difficile, sifflante, son cœur se contracte, ces jambes devienne lourde, douloureuse comme prit par un étau de feu.
Il tombe.
Se relève et se met dos à un arbres.
Il a peur.
Il attend.
L’angoisse monte, et lui donne envie de vomir.
La peur est tellement forte que ces jambes lâche et il se retrouve assis contre l’arbre.
Un autre mouvement sur sa droite.
Il tourne brusquement la tête.
Un homme grand.
Non.
Pas un homme.
L’autre s’approche.
La peau pâle. Des yeux sombres. Ces cheveux également. Des vêtements noir, souple, riche.
Il est proche, trop proche.
Il sourit.
Des canine plus développer que la normal.
Vampire !!!

- Ne croit pas pouvoir m’échapper. Tu m’appartient. Tu est ma chose.